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Vendredi 25 Mars
Heure: |
10:30 - 11:30 |
Lieu: |
Salle B407, bâtiment B, LAGA, Institut Galilée, Université Paris 13 |
Résumé: |
Géométrie Arithmétique et Motivique - Raréfaction exponentielle des hypersurfaces algébriques réelles maximales - |
Description: |
Michele AnconaLien vers researchseminars.orgDans cet exposé, on étudiera les hypersurfaces algébriques réelles à l'intérieur d'une variété algébrique réelle donnée. On prouvera que les hypersurfaces algébriques réelles avec de très grands nombres de Betti (par exemple, les hypersurfaces maximales au sens de Smith-Thom) sont exponentiellement rares dans leur système linéaire. |
Heure: |
11:00 - 12:00 |
Lieu: |
mode hybride B405 et lien bbb |
Résumé: |
MB - Approches proximales pour la résolution de problèmes inverses - |
Description: |
Caroline Chaux Séparation de sources : travail conjoint avec S. Anthoine, A. Cherni et B. Torrésani dans le cadre du projet bifrostFactorisation de tenseur : travail conjoint avec X. Vu, N. Thirion-Moreau, S. Maire  |
Heure: |
11:00 - 12:00 |
Lieu: |
Salle B405, bâtiment B, LAGA, Institut Galilée, Université Paris 13 |
Résumé: |
Modélisation et Calcul Scientifique - Séminaire Commun MBI-MCS - |
Description: |
Caroline Chaux |
Heure: |
14:00 - 15:00 |
Lieu: |
Salle B405, bâtiment B, LAGA, Institut Galilée, Université Paris 13 |
Résumé: |
MB - Méthodes numériques d’ordre élevé pour les modèles aux moments - |
Description: |
Katia Aït Ameur On s’intéresse à des modèles aux moments décrivant la dynamique de brouillards de gouttes. Cette dynamique est représentée par une fonction de distribution f de gouttes suivant l’équation de Williams Boltzmann. Compte tenu du coût de calcul requis pour la résolution numérique de l’équation de Williams Boltzmann, on dérive des modèles macroscopiques basés sur les moments en taille de goutte et en vitesse de la fonction de distribution f. De manière classique, les modèles aux moments pour les sprays sont faiblement hyperboliques et génèrent des singularités de type ?-choc qui sont difficiles à capturer par les schémas numériques. La difficulté est d’assurer que le vecteur de moments calculé par le schéma numérique, appartient à l’espace convexe des moments. Ceci est d’une importance majeure car la fonction de distribution f est explicitement reconstruite à partir des moments. Cette propriété est appelée réalisabilité. Le but ici est de développer des schémas numériques d’ordre élevé en espace et en temps, précis, robustes et préservant les espaces convexes. On considère deux familles de schémas numériques : les schémas volumes finis cinétiques et les schémas Galerkin discontinus d’ordre élevé. Ces schémas génèrent des oscillations non physiques autour des discontinuités et un moyen d’y remédier est d’utiliser des limiteurs de pente. L’enjeu ici est d’amortir ces oscillations suffisamment pour assurer la réalisabilité et la stabilité sans que l’ordre de la méthode numérique ne soit impacté. |
Heure: |
14:00 - 15:00 |
Lieu: |
Salle B405, bâtiment B, LAGA, Institut Galilée, Université Paris 13 |
Résumé: |
Modélisation et Calcul Scientifique - Méthodes numériques d’ordre élevé pour les modèles aux moments - |
Description: |
Katia Ait Ameur |
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